Développement : soupe populaire des Femmes en colère

Vendredi 17 novembre à Reconvilier

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Discours de Maria Wuillemin - Femmes en colère - 17.11.06.pdf

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Portraits

Portrait des Femmes en colère

A écouter

	RSR - journal de 12h30 du vendredi 17.11.06 - soupe populaire (Fabian Greub)
	RJB - journal de 12h15 du samedi 18.11.06

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Le dessin de presse

Source : Bovée - LQJ

Témoignages

SanA (blog de Karl, 17.11.06)

Ce soir, la soupe était bien pleine! Des centaines de participants, anciens, très anciens, nouveaux, Boillat de l'intérieur et de l'extérieur, sympathisants. Une ambiance qui n'avait rien de nostalgique, mais où s'exprimaient au contraire espoir et esprit de résistance. Soupe, vin chaud et vin rouge ont été épuisés bien avant que la foule se retire (elle n'est d'ailleurs pas encore retirée au moment où j'en parle).

Le discours de Maria a évoqué un esprit de lutte bien vivant. Mettre un couvercle sur la marmite, ce n'est pas éteindre le feu, je m'en suis assuré ce soir. J'en suis d'autant plus certain que j'ai pu entendre des paroles venues de l'intérieur. Nulle trace de résignation. Et une multitude d'échos qui confirment [...] la totale gabegie que nous pressentons et percevons à l'extérieur [...].

Mais l'essentiel, ce n'est pas ça. L'essentiel, c'est la persistance bien réelle de l'esprit Boillat. Merci à Maria et à toutes les Femmes en colère d'en avoir favorisé le témoignage vivant !

Grand-Mère (blog de Karl, 18.11.06)

Ambiance chaleureuse ce soir. Je suis arrivée juste un peu tard pour goûter à la soupe: il y en avait plus une goutte! mais ça ne fait rien, ça voulait dire que la participation était plus grande que prévue et ça, c'est épatant. Alors un grand bravo aux femmes en colère et gros bisous à toutes.

Oignon rouge (dito)

Bravo pour le beau succès de la soupe d'après les premiers témoignages ce soir. Merci à toutes les personnes qui raconteront encore, pour celles qui n'ont pu être présentes. Merci, les Femmes en colère.

Un cadre licencié (blog de Karl, 19.11.06)

Maria, bravo pour votre discours, vous êtes une femme formidable. Je vous admire et vous souhaite tout du bon pour la suite, ce n'est pas évident de vivre ce que vous vivez, comme de nombreux autres ouvriers auxquels je pense. Bravo pour votre lutte et meilleures salutations à votre mari.

Un cadre licencié qui reste solidaire.