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Der Ungeliebte hat verlängert
Aufgeben, das kommt für Hellweg nicht in Frage. Trotz Anfeindungen. Diese haben jetzt dazu geführt, dass Hellweg umgezogen ist. Und zwar weg aus der Schweiz, von Pfäffikon SZ nach Köln. «Wenn selbst Nachbarn belästigt werden, dann muss man die Koffer packen», erklärt er. In der Rheinmetropole lebt er anonymer. Zudem: Köln liegt nur rund 70 Kilometer von Lüdenscheid entfernt. Dort befindet sich das deutsche Fabrikationszentrum von Swissmetal. Dieses hatte Hellweg auf dem Höhepunkt des Streiks im Februar 2006 überraschend gekauft. Entsprechend oft ist er jetzt dort anzutreffen. Wenn er in der Schweiz ist, lebt er im Hotel oder steigt bei seiner Lebenspartnerin in Zürich ab. In Reconvilier hingegen war der Manager seit Ausbruch des Streiks nicht mehr. «Da werde ich auch so bald nicht hingehen», sagt Hellweg. «Die Stimmung ist zu aufgeheizt.» Article précédent | Article suivant | Sommaire des articles Ressources liées
TraductionLe mal aimé joue les prolongationsMartin Hellweg (39 ans) reste à la tête de Swissmetal. Il vient de reconduire son contrat de management. Les Jurassiens bernois ne verront pas le manager détesté quitter le groupe. «Le conseil d’administration est entièrement derrière moi», confirme Hellweg, ainsi que l’atteste la reconduction de son mandat jusqu’à fin 2007. Pour Martin Hellweg, il n’est pas question de renoncer, malgré l’animosité. Celle-ci a d’ailleurs provoqué le déménagement de Hellweg. Il a quitté la Suisse, déménageant de Pfäffikon SZ à Cologne. «Si même les voisins sont importunés, il faut faire ses bagages», indique-t-il. Dans la métropole rhénane, il est plus anonyme. En plus, Cologne n’est qu'à environ 70 kilomètres de Lüdenscheid, où se trouve le centre de fabrication allemand de Swissmetal. Hellweg avait acquis à la surprise générale cette usine en février 2006, alors que la grève battait son plein. On le rencontre donc souvent là-bas. Quand il se rend en Suisse, il vit à l’hôtel ou chez sa compagne à Zurich. Le manager ne s’est plus rendu à Reconvilier depuis le début de la grève. «Je n’irai pas là-bas avant longtemps», indique Hellweg. L’atmosphère est trop survoltée. Traduction tirée du blog "Une voix pour la Boillat", du 21.06.06 par Anonyme
Actualisé le 19.11.06 par webmaster
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